Le polar politique breton : « L’Étranger Breton » d’Emmanuel Grand

4.8/5 - (29 votes)

Remarque : Ce message contient des liens d’affiliation. Si vous achetez quelque chose via le fournisseur, nous recevons une petite commission du fournisseur, mais cela ne vous coûtera pas plus cher en tant que client. Nous ne recommandons que les produits que nous aimons. Avec votre achat, vous nous aidez à continuer à produire du contenu gratuit pour vous – merci beaucoup !


Aujourd’hui, je voudrais vous présenter un polar politique breton. Dans ce qui suit, vous en apprendrez plus sur « L’Étranger Breton » d’Emmanuel Grand et courrez la chance de gagner l’un des trois exemplaires.

Mise à jour : Le concours est terminé. Les personnes suivantes peuvent s’attendre à une copie du thriller : Birgitt M., Claudia P. et Vanessa H.

Table des matières

  • Le Crime « L’Étranger Breton »
  • À propos de l’auteur Emmanuel Grand
  • Cinq petites questions à Emmanuel Grand
    • Qu’est-ce qui vous fascine en Bretagne ?
    • D’où tirez-vous l’inspiration pour vos histoires/meurtres ?
    • Votre endroit secret préféré en Bretagne pour ralentir et rêver est… ?
    • Que doit-on absolument faire lorsqu’on se rend en Bretagne pour la première fois ?
    • Et quoi et où manger ?
  • Sur la piste du roman

Le Crime « L’Étranger Breton »

C’est de cela qu’il s’agit : Marko et trois de ses amis s’enfuient en France avec l’aide d’une bande de passeurs roumains. Les passeurs se révèlent être des violeurs brutaux, la situation dégénère et désormais les quatre Ukrainiens sont en fuite de la mafia. Bien qu’il ne soit pas en état de naviguer, Marko se fait passer pour un pêcheur grec et engage un breton sur l’île de Belz. Les habitants se méfient de lui et un meurtre brutal montre au fugitif qu’il n’est pas non plus en sécurité sur l’île idyllique. En France, les Grands Romane ont depuis longtemps trouvé leur public, c’est ainsi que « L’Etranger Breton » a reçu le « Prix SNCF du Polar ».

À propos de l’auteur Emmanuel Grand

Le roman policier d’Emmanuel Grand est souvent comparé à celui de Fred Vargas. Vous leur faites une injustice à tous les deux, mais ce qu’ils ont en commun, c’est qu’ils ne font qu’un langage et forme narratifs très propres avoir trouvé. Jusqu’à présent, deux des romans de Grand ont été publiés en allemand, « Der Fremde Breton » et « Späte Vergeltung ». Dans « le Grand métissé « breton étranger » différents genres en un seul et copieux breuvage breton. Vous rencontrez de méchants mafiosi roumains, des étrangers sympathiques, des mythes vivants et des pêcheurs taciturnes. L’intrigue est un peu mystique, un peu effrayante, parfois brutale, de temps en temps vraiment excitante, dans des parties hautement politiques et un peu quelque chose pour le cœur. Vous retrouverez également l’Ankou et contribuerez à l’ambiance bretonne fantasmagorique. Pas un thriller policier classique, mais un mélange très unique que j’ai vraiment aimé.

Photo : (c) Nicolas Job

Cinq petites questions à Emmanuel Grand

Qu’est-ce qui vous fascine en Bretagne ?

Emmanuel Grand : D’abord sa beauté. En particulier, la côte bretonne que je connais le mieux. La Bretagne est un pays qui s’étend loin dans la mer et se bat sans cesse contre l’océan. Les paysages bouleversent par leur beauté. Le ciel, la mer, les falaises, les plages, les villages… Il faut savoir que les côtes bretonnes sont bien différentes. Au nord, par exemple, la côte qui a donné son nom au granit rose. A l’ouest, la côte est blanche comme les embruns et au sud, de longues plages ensoleillées de sable blanc. J’aime aussi la culture bretonne. C’est une région qui a sa propre identité, sa langue, sa tradition orale, sa littérature et sa cuisine. Et qui a toujours été ouvert sur le monde que les marins bretons ont sillonné pendant des siècles.

D’où tirez-vous l’inspiration pour vos histoires/meurtres ?

Emmanuel Grand : J’aime me plonger dans les lieux de mon roman, imaginer marcher dans les rues et les chemins sinueux et me promener le long de la côte. C’est exactement ce que j’ai fait avec « Der Fremde Breton ». L’inspiration vient de différents niveaux de notre imagination. Il s’inspire également de ce que j’ai lu et des films que j’ai vus. C’est un processus assez désordonné et mystérieux. Nous sommes coincés pendant des semaines et puis tout sort d’un seul coup… Dieu sait pourquoi.

Votre endroit secret préféré en Bretagne pour ralentir et rêver est… ?

Emmanuel Grand : Je suis amoureux des îles. Ils sont difficiles d’accès et sont de petits mondes autosuffisants. Les options sont limitées et ce sont des endroits idéaux pour se détendre et rêver. Il existe de nombreuses îles en Bretagne, Chausey, Bréhat, Batz, Ouessant, Groix, Belle-Ile sans compter les îles du Golfe du Morbihan. Je choisirais Groix, l’île qui m’a inspiré pour « l’étrange breton ».

Que doit-on absolument faire lorsqu’on se rend en Bretagne pour la première fois ?

Emmanuel Grand : Je recommanderais une visite sur les côtes bretonnes. Cela peut être la Baie du Mont-Saint-Michel, unique en son genre. Le panorama du haut de l’abbaye est à couper le souffle. Ça peut aussi être le Finistère nord entre Brest et Lannion avec sa côte vraiment sauvage, la visite des ports entre Bénodet et Lorient ou les eaux calmes du Golfe du Morbihan, sans cesse traversées par les voiles des dériveurs.



Et quoi et où manger ?

Emmanuel Grand : En Bretagne, il est indispensable de goûter la galette de sarrasin, qui se prépare ici de façon incomparable. Il me semble que les meilleures crêpes se trouvent dans la région de Quimper et Douarnenez, mais on peut en trouver de très bonnes presque partout. Et si vous aimez les fruits de mer, comme moi, vous devriez aller à Cancale et manger des huîtres, par exemple après avoir visité le Mont-Saint-Michel.

Photo : (c) Xavier Dubois

Sur la piste du roman

Je n’ai pas trouvé l’île de Belz sur la carte. L’île de Belz est plutôt un exemple des innombrables îles et archipels disséminés autour de la Bretagne dans l’océan. Dans une certaine mesure, Grand crée un microcosme largement fermé aux influences étrangères.

La vie est dure et orageuse, les gens noueux et idiosyncratiques. Les mythes et légendes sont omniprésents dans la vie de tous les jours. Au moins, vous apprenez que Marko arrive sur l’île via le port du Loiret. De là, vous pouvez aller à Ile de Groix translate, que Grand a posé comme modèle pour la conception de son terminus Belz (le titre original français). « Devant lui deux jetées de granit s’avançaient dans la mer, aux extrémités desquelles s’élevaient deux petits phares de pierre. Ils bordaient un port gérable à flanc de colline où deux douzaines de navires de différentes tailles étaient amarrés, saluant l’arrivée du ferry avec un léger balancement et claquement de leurs mâts en aluminium.

À l’extrémité du port se dressait une rangée de maisons bleues et blanches, certaines avec des enseignes au néon sur la façade. Sur la droite, une bande de côte tombait à pic dans l’océan. » Vous pourrez découvrir l’île à pied le long du sentier du littoral ou le long d’une piste cyclable spécialement aménagée pour les vélos, qui vous conduira vers de nombreuses destinations incontournables de l’île. Vous ne devriez pas en manquer un Détour vers la falaise infernale « Pointe de l’Enfer » dans le sud de l’île. Vous pouvez louer des vélos – désormais aussi des vélos électriques – à Port Tudy. Il y a aussi deux campings sur Croix, un Camping Municipal et un Camping des sables rouges. Cependant, la traversée avec le mobil-home n’est pas exactement bon marché et ne vaut la peine que si vous prévoyez un séjour plus long.

Photo : (c) Nicolas Job

Ici vous pouvez commander « Der Fremde Breton » d’Emmanuel Grand :

[apn typ=“template“ template=“tpl-2″ asin=“3746632374″ tpl-infobox=“true“ tpl-buttontpl=“0″ false=““]

Photo de titre du photomontage :
Couverture du livre (c) Aufbau Verlag | Photo d’arrière-plan : (c) alevtina.gorskaya.gmail.com/Depositphotos.com